Dans le quartier où je résidais, il y a un petit temple, perdu entre les immeubles. Il s'appelle le Togo Jinja. Otoosan m'y a emmené le lendemain de mon arrivée.
C'est un très joli temple, entouré de peinture décrivant des combats. Otoosan m'a expliqué longuement chaque tableau mais j'ai eu beaucoup de mal à comprendre alors je vais éviter de vous raconter des anneries.
Otoosan m'a appris les différents rituels à faire avant de prier. Se laver les mains et la bouche par exemple. Il m'a également expliqué la prière en elle-même. Heureusement que j'ai filmé, je ne sais pas si je m'en souviendrais sinon. Puis, il m'a offert une "prière" : un papier avec écrit mon avenir (mirai).
Sur la gauche, nous avons traversé un petit pont où il y avait en-dessous des poissons et des tortues. J'y ai appris le mot : kame (tortue).
Nous sommes ensuite partis pour la bibliothèque du quartier où nous avons dû nous déchausser.
Dans un premier temps, nous étions au rayon enfant où j'ai lu un livre sur le Sakura.
Puis nous nous sommes rendus au rayon pour adulte où là, le niveau était bien plus ardu. Pas de furigana pour lire les kanji, j'ai du me rabattre sur la littérature étrangère.
C'est un très joli temple, entouré de peinture décrivant des combats. Otoosan m'a expliqué longuement chaque tableau mais j'ai eu beaucoup de mal à comprendre alors je vais éviter de vous raconter des anneries.
Otoosan m'a appris les différents rituels à faire avant de prier. Se laver les mains et la bouche par exemple. Il m'a également expliqué la prière en elle-même. Heureusement que j'ai filmé, je ne sais pas si je m'en souviendrais sinon. Puis, il m'a offert une "prière" : un papier avec écrit mon avenir (mirai).
Sur la gauche, nous avons traversé un petit pont où il y avait en-dessous des poissons et des tortues. J'y ai appris le mot : kame (tortue).Nous sommes ensuite partis pour la bibliothèque du quartier où nous avons dû nous déchausser.
Dans un premier temps, nous étions au rayon enfant où j'ai lu un livre sur le Sakura.
Puis nous nous sommes rendus au rayon pour adulte où là, le niveau était bien plus ardu. Pas de furigana pour lire les kanji, j'ai du me rabattre sur la littérature étrangère.
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